Où l'on parle de piscine et de sexy-boys...

25.09.2008

Pour ce soir, je vous propose quelques réflexions personnelles.

Cette année, je suis de nouveau vraiment étudiante. J'ai loupé mon année l'année dernière pour ne pas avoir su choisir entre boulot et études. Du coup cette année je choisis les études, me contentant de petits boulots pour payer les factures. Bref tout ça pour dire que je suis en LLCE Anglais (Lettres, langues et civilisations étrangères) et en LLCA swahili (Lettres, langues et civilisations africaines).
En jettant un oeil au sommaire des livres fortement recommandés par les profs (beaucoup trop nombreux pour pouvoir dire oui à tout), je suis tombée en littérature américaine sur le nom de Vladimir Nabakov. Au moment de critiquer cet auteur je m'étais demandée s'il était américain ou russe. Et quelques parts je n'ai toujours pas tranché la question dans mon esprit.
Perd-on sa nationalité en choisissant d'écrire dans une autre langue que sa langue maternelle ? Appartient-on à la littérature du pays que l'on met en scène ?

Et loin de toutes ses réflexions pseudo-savantes, j'ai trouvé ce soir un article qui m'a fait beaucoup sourire, merci au blog d'happyfew, pour sa sélection de sexy-boys.
Mais pourquoi faut-il que les plus sexys se retrouvent dans des navets ? Et pourquoi lorsqu'ils ne sont pas dans un navet, le dernier Batman au hasard, ils sont tout de suite beaucoup moins sexys ? Faut dire que je n'ai pas trop aimé le dernier Batman, trop long, quoiqu'avec une ambiance très bien faite. Mais je m'égare.

Juste avant j'avais plutôt eu une petite tendance à démoraliser face au courage de Melusine à se rendre régulièrement à la piscine. J'aimerai pouvoir bouger mes os (comme dit ma mère) et m'y rendre toute seule comme une grande au moins une fois par semaine. Mais elle me semble tellement loin de chez moi, et puis il fait froid, et tout et tout.

Tiens au fait pour revenir à mes études, ne le répétez pas à ma maman, mais comme j'avais peur de m'ennuyer, j'ai pris une option libre au premier semestre... je vais étudier l'Afrikaans. Mais chut, il ne faut pas le dire. Car il faut bien reconnaître, que je ne suis pas convaincu que l'apprentissage des langues africaines me conduisent quelque part un jour.
En plus elles sont toutes plus ou moins en perte de locuteurs. Il n'y en a plus que pour l'anglais, un moyen tellement plus sur pour communiquer. Tiens, prenons Virginie, blogueuse de son état mais également française, et bien elle tient un blog en anglais. Elle n'y parle pas d'Afrique, mais vous saissez l'idée.

Allez, je file poursuivre mon exploration blogguesque. Et en attendant ma rentrée qui a lieu lundi, voici un souvenir : mon école au Togo l'année dernière à l'heure de la récré... (dans le coin à gauche, les profs... dont moi !)