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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 07:00

 

http://www.ultra-book.com/users_2/m/a/marioncocklico/img_ptf_medium/nouvelle_image__538312.jpgLes éditions Tourbillon lancent une nouvelle collection à destination des petites filles, pour leur permettre de découvrir le quotidien des petites filles du bout du monde.

 

A chaque documentaire, une couleur dominante, une petite fille, un pays et un tas de découverte en perspective. Actuellement, deux pays sont à l'honneur, l'Inde grâce à Lalita et le Japon avec Naomi.

 

En fait le choix de ces deux prénoms illustrent mon ressenti général. Il manque quelque chose pour rendre l'ensemble plus réaliste, plus documentaire, plus juste. Deux prénoms que je n'ai jamais entendu malgré mon goût un peu trop prononcé pour le Japon et le tourbillon indien qui m'a surpris en Malaisie il y a quelques années.

L'ensemble entretient les clichés et les stéréotypes. Du bricolage et de la cuisine sont proposés, mais loin d'être facile à faire sans adulte, même pour des enfants en primaire.

 

Et puis surtout, je n'aime pas l'idée de documentaire pour les filles et d'autres pour les garçons. Le Japon est vraiment présenté d'un point de vue féminin, trop féminin : kimono, fête des filles, etc.

 

De très beaux livres, qui se présentent pour les enfants à partir de 5 ans, mais qu'il faut garder loin des vrais curieux, qui cherchent toujours le détail qui ne va pas.

 

Naomi, la petite japonaise– Sylvie Baussier & Marion Cocklico – Tourbillon

Lalita, la petite indienne– michèle Mira Pons & Marion Cocklico – Tourbillon

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7 septembre 2013 6 07 /09 /septembre /2013 07:00

http://www.jeuxdenim.be/images/jeux/TimelineEvenements_large01.jpgRendez-vous hyper geek aujourd'hui : point de livre mais un jeu de carte, simple, qui ne prend pas de place et qui est à réserver aux geeks et aux collégiens...

 

Timeline existe sous différentes versions, je ne connais que celle qui illustre ce billet.

Le principe est très simple : chaque carte représente un évènement comme le début de la colonisation, l'ouverture du premier supermarché, la disparition des dinosaures, etc. Chaque joueur a quatre cartes et va devoir en poser une à chaque tour au bon endroit par rapport aux autres évènements déjà posés sur la table de jeu.

 

Ainsi le premier ours en peluche a-t-il été créé avant ou après le premier supermarché ?

 

Un jeu d'ambiance qui a pour principal défaut d'être rapidement trop facile pour le propriétaire du jeu. Mais idéal pour les geeks curieux de tout et n'importe quoi, ou pour les collégiens qui ont du mal à mettre un peu de logique et d'organisation dans leurs cours d'histoire.

 

Une partie dure environ 15 minutes et le jeu est accessible de 2 à 8 joueurs.

 

http://geekette.fr/wp-content/uploads/2013/04/challenge_geek.jpg

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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 07:00

http://ecx.images-amazon.com/images/I/51xmLx6-2PL._SL500_AA300_.jpgA défaut d'avoir le temps de tester les hamburgers du Camion qui fume dans les rues parisiennes (un camion itinérant qui vend des burgers avec une réputation de folie), j'ai un super ami (le genre qui répond au téléphone quand j'allume mon ordinateur et que l'écran est à l'envers, mais qui a aussi plein de livres géniaux à prêter) qui m'a cédé pour quelques semaines le livre de recettes.

 

Comme je suis une maline, j'ai non seulement un ami qui me fournit en livres, mais aussi un namoureux qui cuisine les recettes que je choisis (après avoir fait lui-même les courses et en terminant par la vaisselle).

 

Nous avons donc testé deux des recettes et on hésite à recommencer. Au menu il y avait ce soir là Burgers campagne et beignets d'oignon. Dixit mon namoureux : il n'a jamais vu de recettes aussi compliquées. Et pourtant côté burgers d'habitude il assure (plusieurs années chez quick donne une base de travail sérieuse, l'imagination faisant le reste). Mais là soyons honnête, c'était vraiment pas terrible, car il y avait beaucoup trop de choses à faire.

 

Alors je pense (de mon point de vue de gourmande fainéante) que pour nous, pauvres amateurs, ce livre doit servir d'inspiration et pas forcément de ligne directrice. Ou alors il va falloir s'entraîner très sérieusement.

 

Par contre, je n'ai pas fait que manger. J'ai lu toute l'introduction qui trace l'itinéraire de Kristin Frederick des Etats-Unis à Paris, de la finance aux burgers. J'aime toujours découvrir comment des individus osent se lancer à la poursuite de leur rêve... et y parviennent.

 

Burgers, les recettes du camion qui fume – Kristin Frederick – Tana éditions.

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1 avril 2013 1 01 /04 /avril /2013 07:00

http://media.greenrepublic.fr/media/catalog/product/cache/3/image/c4e21cfc56fb79bc485994c2dc409a40/g/u/guide_tao_aimer_paris_ete_couv_hd.jpgNon mais c'est quoi cette blague ? On passe à l'heure d'été les pieds dans la neige (enfin il paraît, chez moi il fait juste gris et très très froid). J'objectionne et suis prête à lancer une pétition pour l'arrivée immédiate du soleil. Je suis prête pour l'été, j'ai un super nouveau guide Aimer Paris en été avec plein de bonnes adresses « trouver une chaise longue » ou « fontaines et jeux d'eau »...

 

En plus, les éditions Viatao.com sont généreux et vont vous offrir un exemplaire du guide la semaine prochaine. Sur la couverture un homme a un sourire format pastèque, le ciel est bleu, on a envie de buller avec lui. Finalement j'aurai du opter pour l'édition Aimer Paris en hiver. La jeune femme en couverture a un bonnet et une tasse de chocolat chaud.

 

J'ai déjà parlé de ce guide dans un billet sur le tourisme alternatif sur mon blog voyages – langues étrangères – bazar. Mais comme les lecteurs communs aux deux blogs sont peu nombreux, je réitère, quoi ici le tourisme alternatif on s'en moque. Ce qui compte ce sont les produits de saisons, les adresses qui sortent des sentiers battus (je ne connaissais qu'un seul des restaurants / salons de thé!). Le papier issu de sources responsables, la garantie d'adresse qui respecte la planète, l’existence de 36 critères de qualité, gestion sociale et développement durable pour évaluer les adresses, sont la cerise sur le gâteau. La cerise qui donne envie d'acheter ce guide plutôt qu'un autre. L'envie de ne pas se contenter de mettre le papier dans une petite poubelle bleue, mais envisager les vacances ou les sorties entre copine avec un autre point de vue.

 

A mes yeux ce guide n'a qu'un défaut : il ne fournit pas le soleil ! J'ai déjà chez moi plusieurs guides de grands éditeurs voyages (dont je ne citerai pas le nom, cela ne sert à rien). Et après 8 ans en région parisienne, je ne les ouvre plus, car ils proposent tous les mêmes adresses, sans véritable renouvellement. Alors je vais sur des blogs, suis les conseils de copines... et j'ai déjà eu le droit au salon de cupcake qui vient de changer de proprio (pas du tout à l'avantage), celui qui n'a pas les mêmes horaires que sur son site, celui dont les prix sont très différents de ce que le blogueur avait annoncé, etc.

Bien sûr un guide papier à moins de chance encore que le net d'être à jour à 100 %. Mais à défaut toutes les adresses répondent à des valeurs de conscience citoyenne et durable que je partage. Et par la volonté de chercher de tel lieu, l'éditeur propose des adresses dont je n'avais jamais entendu parler. Comme le salon de thé Aux troubadours, le Hope Café, le Plaisir d'équithé, le Café Maure, les 3 arts....

 

Les catégories sont également surprenantes, « buller », « rencontre », « se mettre au vert », pour terminer sur « enfants », non pas original, mais trop souvent oublié.

 

Guide Tao, Aimer Paris en été– Christelle Ganja & Marie Ségura - Viatao.com

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9 janvier 2013 3 09 /01 /janvier /2013 08:00

http://www.librairie-voyage.com/media/catalog/product/cache/1/image/e05eba2b75d541a629a08d3c546d57b9/e/d/editions_rue_du_monde_-_cartes_-_voyage_parmi_mille_curiosit_s_et_merveilles_du_monde.gif

Dans mon imaginaire, lorsque l'on part en vacances ou en excursion, on visite des églises, des musées, on mange une glace en terrasse. La balade peut se terminer avec l'achat de cartes postales voir même de souvenirs totalement kitsch qui ne servent à rien, encombrent les étagères et les placards. Pourtant chez nous cela ne se passe jamais comme ça. Ainsi nous sommes revenus du Japon avec 15kg de plus qu'au départ, kilos en provenance direct de livres, en japonais. Alors que seul mon namoureux lit le japonais, que moi je me débats avec cette langue et que ma fille ne lit pas du tout. Peu importe, on lui avait choisi un livre sonore avec des comptines japonaises...

Pendant les vacances de Noël, notre destination d'un jour était beaucoup moins exotique, puisque nous avons découvert Pontoise. Son église, son centre ville, sa pluie, un salon de thé et sa librairie. Une agréable librairie avec un bel espace jeunesse. Comment ressortir les mains vides d'une librairie lorsqu'on a un coup de foudre ?



Je vous ai déjà un peu parlé de mon obsession pour les atlas et les tours du monde. Voici une édition pour les grands curieux qui savent lire, pour ceux qui aiment se plonger dans un livre pendant des heures et s'y replonger à la recherche d'un nouveau détail ignoré à la lecture précédente.



Un titre prometteur, Cartes, un sous-titre bien choisi, Voyage parmi mille curiosités et merveilles du monde, car l'album tient ses promesses. Six continents, cinquante cartes et 40 pays passés à la loupe.

Chaque pays est représenté au centre de la double page, avec dans un coin les informations officielles et dans la carte mais aussi tout autour des animaux, des plats, des vêtements, des mythes, des monuments, etc.


http://tourner1page.fr/wp-content/uploads/2012/11/IMGP3155-600x450.jpg


Voici de quoi vous donner une bonne idée de son contenu, chaque terme étant associé à un dessin.

En Suisse il y a la Porte de Spalen ; les Chutes du Rhin ; la Raclette, fromage fondu servi avec divers accompagnements ; Heidi, héroïne des romans de Johanna Spyri ; le bouquetin des Alpes ; le  snowboard ; des sousliks ; Le Corbusier (architecte) ; etc

En Namibie on trouve les plus grandes dunes du monde, certaines atteignent 300mètres de hauteur ; des mangoustes jaunes ; les chutes d'Epura ; des épaves sur la côte Skeleton ; des sardines ; des diamants ; on peut faire la traversée des dunes en quad ; etc



Le seul risque à la lecture de ce magnifique livre, c'est de vouloir en savoir encore plus. En tant que parent, préparez-vous à devoir faire face à un flux de questions. Personnellement j'ai perdu 5 minutes à chercher pourquoi il y a des épaves sur la côte Skeleton (une histoire de brouillard) et ce qu'est véritablement un souslik (un écureuil).

Un coup de foudre qui se confirme à chaque fois que j'ouvre cet atlas.



Cartes, Voyage parmi mille curiosités et merveilles du monde – Aleksandra Mizielinska et Daniel Mizielinski – Rue du Monde

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19 novembre 2012 1 19 /11 /novembre /2012 10:22

Les atlas pour les touts-petits sont plutôt rares et jusqu'à présent nous n'avions que celui de Crocolou. Un livre sympa mais qui manque de cohérence dans sa représentation des tenues traditionnelles. Enfin peu importe, ce n'est pas le sujet du jour.

 

http://static.decitre.fr/media/catalog/product/cache/1/image/9df78eab33525d08d6e5fb8d27136e95/9/7/8/2/8/4/8/0/9782848017488FS.gifCar j'ai reçu Mon premier atlas de la terre, édité par Tourbillon. Un titre très prometteur, une présentation originale, un bilan très mitigée.

Le "livre" est en trois parties : une carte du monde rigide et plastifiée, une planche d'autocollant repositionnables et un petit livre (évoquant les magazines pour bébés). Trois parties qui semblent s'adresser à trois publics différents.

Mais continuons. Dans le livret, nous retrouvons tous les autocollants, avec une petite explication, comme le djembé, la cabosse, le renard polaire, etc (il y en a 80 en tout). Chaque explication se termine soit par "retrouve le loup sur la carte page 18" soit par "colle la girafe où tu veux en Afrique".

Commence alors un désagréable mouvement de va et vient. De l'explication sur le loup page 21, à la carte de l'Asie page 18, à la planche d'autocollant pour enfin finir sur la carte du monde rigide pour poser le loup au bon endroit.

 

Sans chercher à prendre les enfants pour des idiots, mais me référant à ma propre idiotie : un truc pareil ça me fatigue, autant coller les autocolants comme j'en ai envie. Et le livret, il est super bien pour faire du découpage (ou pour marcher dessus, glisser et froisser toutes les pages).

J'en conclus à cette étape de ma réflexion que ce livre s'adresse finalement à des enfants en fin de maternelle ou même en primaire, curieux et patient. Mais dans ces cas là, on s'éloigne du titre prometteur de "premier atlas", dans le sens, premier que je peux consulter du haut de mes trois ans.

 

Alors pour l'instant, j'ai tout rangé de côté pour patienter quelques années, et on va se contenter de Crocolou qui a le mérite d'être tout cartonné.

 

Mon premier atlas de la Terre, Sandra Laboucarie & Cécile Jugla & Julie Mercier, Tourbillon

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8 novembre 2012 4 08 /11 /novembre /2012 08:00

Débordée, je vous propose trois livres dans un seul billet. Mais le sujet devenant vite austère, je commence par un roman jeunesse et je finis avec deux questions d'éducation (bien que ce soit deux titres grands publics, ceux n'étant ni profs ni parents, risquent de s'ennuyer, je vous aurai prévenu).

 

http://depagesenpages.files.wordpress.com/2012/07/la-petite-fille-au-kimono-rouge.jpgEn CE2 (si ma mémoire est bonne, mais c'était peut-être CM1), j'ai lu La petite fille en kimono rouge pour l'école. Un coup de coeur ! Un livre qui est encore aujourd'hui dans mon top 10 (pourtant très variable). J'avais été touchée par cette petite japonaise fraichement débarquée aux Etats-Unis. Elle est coincée entre deux cultures et ne sait comment se faire des amis américains. C'est grâce à elle que j'ai découvert de façon consciente le Japon pour la première fois et enrichit mon vocabulaire de façon incroyable.

Je viens de le relire. Et je suis toujours complètement sous le charme. Il y a beaucoup de sensibilité, de questionnements enfantins sur la double culture bien sûr, mais aussi sur l'amitié, le mensonge, la délation.

Ce livre est une merveille !

 

 

http://img.over-blog.com/341x500/3/60/76/57/Livres/9782350761152.jpgVirement à 180°, avec un livre qui m'a complètement déprimée : Chroniques d'une prof qui en saigne. Je n'ai jamais vu un tel concentré de vulgarité, de discrimination, de stupidités (j'ai bien un mot qui me vient à l'esprit pour résumer, mais je vais éviter car je ne souhaite pas me créer un nouveau lectorat attiré par un mot clé surprenant). Je n'avais lu jusqu'à présent que de bonnes critiques sur le livre et/ou le blog dont il vient.

Princesse Soso est assez connue en ligne. Elle est prof d'anglais et avec un humour incisif (mais qui m'a laissé de marbre) dresse un portrait effarant de l'éducation nationale et plus précisément du collège unique. Un portrait qu'elle critique justement, introduisant dans son récit des chapitres plein de bon sens (mais chapitre en général gâché par une speudo pointe d'humour ou par une réflexion laissée en plan).

Mais le livre finit par être indigeste, écoeurant. Je ne dois pas être assez patriotiste pour apprécier les envolées lyrique sur l'école publique guidant la nation vers des jours meilleurs. Et je dois trop généreuse pour rejeter la majorité de la responsabilité sur les parents. Car selon moi si tant d'élèves arrivent au collège sans savoir lire, l'école primaire a aussi une part de responsabilité.

A la limite il est simplement plus intéressant de lire cette interview que de se farcir tout le bouquin.

Pour info, elle évoque à un moment de se pencher sur d'autres méthodes d'enseignement pour faire évoluer l'école publique et n'évoque que Montessori. Mais il existe de nombreuses formes d'éducation comme l'école Summerhill en Angleterre, les travaux de John Holt sur le Unschooling (aux Etats-Unis) ou plus simplement Freinet (liste absolument pas exaustive, je ne suis pas une experte).

 

http://www.educationreformbooks.net/images/UnschoolingT.jpgEn parallèle, j'ai lu (en anglais) the Unschool handbook, soit une sorte de guide/témoignage sur les capacités des enfants à être moteur de leur éducation. Il s'agit ici d'une forme d'éducation à la maison mais qui a surtout le mérite de redonner un peu d'estime aux enfants. Une excellente lecture pour réfléchir aux rapports que notre société crée à l'éducation, à l'enfant, à l'autorité. On désacralise les mathématiques, on met en avant la curiosité naturelle des enfants.

Personnellement je n'avais jamais vu les choses sous cette angle là et j'en tire un maximum pour construire mes cours de français qui s'adresse à des adultes.

Pour info, les méthodologies aujourd'hui développées et en cours dans le secteur du français langue étrangère vont tous dans le même sens qu'une part importante des principes du unschooling : si ce que vous enseignez n'a pas d'application directe, cela ne sert à rien (et même si en classe, on fait semblant de ...). Un enfant préfèrera apprendre à compter en allant acheter des bonbons, que sur une feuille avec une piscine à remplir d'eau en X heures.

 

La petite fille au kimono rouge, Kay Haugaard, Le livre de poche

Chroniques d'une prof qui en saigne, Princesse Soso, Privé

The Unschool handbook How to use the whole word as your child's classroom, Mary Griffith, Prima Publishing

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Bonjour, je suis Tiphanya, j'ai créé ce blog et pendant trèèèès longtemps, j'étais la seule à y partager mes chroniques littéraires.

Depuis peu, j'ai décidé d'associer ma fille Nine (né en novembre 2011) car elle voit beaucoup de choses qui m'échappent complètement. J'ai choisi de vous transmettre ses mots, ses remarques, ne touchant qu'à la grammaire pour rester le plus proche de ses idées.

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