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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 07:00

Titre : Le maître de fengshui perd le nord
Auteur : Nury Vittachi
Editeur : Picquier poche

C.F. Wong est un vieu chinois vivant à Singapour. Mais c'est surtout un maître du fengshui aidant des clients fortunés à agencer au mieux leur logement. Cependant sa perspicacité fait de lui un atout dans certaines enquêtes criminelles surprenantes. Il est assisté d'une jeune stagiaire d'origine australienne, Joyce McQuinnie, un spécialiste de l'astrologie indienne et une diseuse de bonne aventure chinoise.
Avec leur soutien (bien qu'il doute de la validité du mot "soutien"), Wong va enquêter sur un cabinet de dentistes hanté, la disparition d'une jeune fille au karma atroce et le kidnapping d'une jeune fille très riche.


Ce roman policier m'a vraiment évoqué les aventures de Mma Ramotswe, la détective botswanienne. Cependant ici l'enquête est un peu plus présente.
L'intérêt de ce livre repose avant tout sur la galerie de personnages et leurs liens qui provoquent de nombreuses situations comiques. Ainsi Wong commence sa journée par un plat de riz qui dégoute Joyce. Et la situation se retourne, quand la jeune australienne exige d'avoir aussi son petit déj' à base de caféine, sucre et gras.

L'auteur a su retranscrire à merveille les points de vue de chaque personnage. Joyce parle comme une ado, sort en boite, ne comprend que peu ce vieu chinois et a du mal à se sentir chez elle à Singapour. Wong n'a jamais entendu parler de rappeur, ne sait pas ce que veut dire "choper une fille", connait Singapour comme sa poche et trouve normal la brutalité policière (comment un policier pourrait obtenir des aveux sans taper sur les gens, en Chine au moins, on obtient toujours des aveux).
La différence entre les personnages transparait dans leur façon de parler mais aussi dans leur connaissance des lieux. Ainsi le rendez-vous dans une boite de nuit est vu du point de vue de Wong et sa découverte des jeunes gothiques est génial. A l'inverse le marché de nuit est vu par Joyce qui semble voir un fantôme dans chaque mouvement de lumière. Ce contraste est également une très bonne représentation de la vie à Singapour.

Cependant ce détail demande d'être curieux de l'Asie du Sud-Est. Les références à des villes malaises sont nombreuses, mais aussi à Hong-Kong. Les plats sont tous donnés dans le nom d'origine. Et je suppose que ce n'est pas évident pour tout le monde de comprendre le dégout de Joyce face à un nasi lemak (bon en fait perso je sais juste que nasi c'est du riz). Mais cela rend le décor encore plus vrai, de même que petites exclamations en chinois de certains personnages. On a ainsi l'impression d'être sur place.

Il existe un deuxième tome des aventures du maître du fengshui que j'espère bien pouvoir trouver plus facilement que le premier et donc pouvoir lire très prochainement.





En savoir plus : l'avis de Céline qui voulait en savoir plus sur le fengshui, tout sur le fengshui justement, tout sur Singapour vu par un expat et quelques photos de Malaisie.

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20 septembre 2009 7 20 /09 /septembre /2009 07:00
Titre : Comme dans un rêve, un roman sur un crime
Auteur : Lief GW Persson
Editeur : Rivages
Chronique faite par S. mon amoureux rien qu'à moi.

Il y a une vingtaine d’années le premier ministre suédois Olof Palme était assassiné en sortant d’un cinéma. De nos jours le chef de la police Johannson, proche de la retraite décide de rouvrir discrètement l’affaire, à la veille de la prescription, en y affectant une nouvelle équipe, chargée officiellement de trier le dossier, pour avoir un regard neuf et finir sa carrière sur un coup d’éclat. Si les résultats sont d’abord minces, de nouvelles théories viennent pointer le bout de leur nez.

 

            Le roman est tiré du véritable meurtre d’Olof Palme, toujours irrésolu, et du dossier pléthorique qui en a résulté après 20 ans d’enquête. C’est un policier de bonne facture, bien mené. L’ambiance de fouille minutieuse façon « expert », le crédible de l’arrière-plan policier, et l’équipe d’enquêteurs attachants et typés ainsi que les personnages secondaires amusants rendent la lecture plaisante. L’univers présenté n’est pas trop simpliste et porte son lot de types supers et de ripoux sans transcender le genre, ni du point de vue critique social, ni du point de vue originalité. La traduction n’est pas mauvaise, sauf peut être la gestion du tutoiement qui a l’air d’être une sorte de règle universelle en suède mais qui ne l’est pas en français ce qui brouille un peu nos repères hiérarchiques. Le style est simple et très lisible sans être trop pauvre.

            L’histoire en elle-même a quelques points noirs, déjà par le fait qu’elle est bien plus suédo-suédoise que dans Millenium au hasard. Si on a bien une ambiance nordique, on a tout de même surtout une histoire qui concerne les suédois (c’est quand même leur premier ministre) et pour laquelle on du mal à éprouver un vrai intérêt par le fait qu’elle est peu universelle. Rien que la référence constante à « notre cardinal de richelieu national » ou à « l’éminence grise » qu’un lecteur français ne situe absolument pas, est un exemple assez frappante par son suédisme, et le rappel de points culturels ou d’affaires politiques locales (l’affaire Bofor ça vous dit quelque chose ? et les préjugés sur les bouseux du Norrland ?). Soit dit en passant, c’est une faute de la part de l’auteur puisque le Cardinal de Richelieu est une éminence rouge (la robe des cardinaux est rouge) et que c’est son conseillé très privé le Père Joseph, un moine capucin, qui étais donc appelé l’éminence grise (d’après le gris de la bure des capucins et son pouvoir supposé sur le cardinal). On a un peu au bout du compte l’impression d’une maison d’édition qui suit la mode en publiant le premier suédois venu parce que ça se vend actuellement.

            Il y a aussi certains personnages qui, si ils sont amusants au début, deviennent vite lourdingues tant ils sont crétins ou peu intéressants par une tendance à être sibyllins. Par contre la manière particulière de faire monter la tentions en mettant en place un petit compte à rebours avec la présence en début de chapitre d’un petit texte relatant un évènement daté dans le futur qui se rapproche au fur et à mesure est bien menée car elle parvient à rester intéressante sans déflorer plus que ça l’intrigue. Au bout du compte une fin d’enquête sympathique mais une conclusion peu transcendante à la fois désagréable par sa manière de ne pas s’engager, un peu éculée et carrément discutable du point de vue moral.

            En conclusion pas le bouquin de l’année mais un policier de bonne facture, pour peu qu’on veuille bien s’immerger dans les méandres de la vie vraiment suédoise (et ouais moi je connais l’affaire Bofor et ces cul terreux de lapons vraiment ils craignent, bon je vous laisse je vais acheter ma gnole au systembolag).



Ce blog a décidé de s'associer à un projet ambitieux : chroniquer l'ensemble des livres de la rentrée littéraire ! Vous retrouverez donc aussi cette chronique sur le site Chroniques de la rentrée littéraire qui regroupe l'ensemble des billets réalisées dans le cadre de l'opération. Pour en savoir plus.
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17 septembre 2009 4 17 /09 /septembre /2009 07:00

Titre : Effroyables Jardins
Auteur : Michel Quint
Editeur : Joelle Losfeld

Le narrateur n'aime pas les clowns. Son père fait le clown, l'auguste, le vrai, à chaque fois qu'on l'y invite. Il faudra une séance de cinéma en famille, une longue discussion avec l'oncle Gaston pour comprendre ce clown, une discussion qui les conduits dans les souvenirs de la guerre.

Ma PAL recèle des livres absolument incroyables. Ce roman a été écrit en réation à la présence d'un clown au procés de Maurice Papon à Bordeaux.
Totalement écrit à la première personne, il se compose de deux parties : tout d'abord l'enfant, le "vrai narrateur", puis son oncle qui devient narrateur du récit dans le récit. Deux façons de parler donc, la seconde beaucoup plus oral, qui de part ces expressions, sa façon de s'exprimer nous ramènent dans le temps.

Le récit est très court (62 pages) et va directement au but. On ne tombe pas dans le pathos, dans les faux apitoyements. C'est une histoire d'hommes fiers d'eux-mêmes et de leurs actes. Pas de chichis, pas de remords, pas même de haine envers les bourreaux, mais pas contre une profonde volonté de remercier ceux qui ne sont pas restés aveugle, sourd et muet devant les faits.

J'ai aimé le ton de ce roman. J'ai aimé que pour une fois je puisse lire jusqu'au bout un roman sur la seconde guerre mondiale sans finir en larme. J'ai aimé la pudeur et la retenue de ces hommes.

Ce roman a été adapté au cinéma en 2003 par Jean Becker. La couverture de mon édition représente l'affiche du film.

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14 septembre 2009 1 14 /09 /septembre /2009 07:00

Titre : Une revanche implacable
Auteur : Kate Walker
Editeur : Harlequin

Alors qu'elle avait 18 ans, Jessica était folle d'Angelos. Mais celui-ci l'a repoussé alors elle a simulé une agression. Sept ans plus tard ils se retrouvent à l'occasion d'un enterrement. Angelos est bien déterminé à se venger et Jessica voit toutes ses convictions s'effondrer les unes après les autres.


Voici donc ma deuxième participation aux Harlequinades. Je vous rappelle le projet (lancé par Fashion et Chiffonnette) : mener une étude hautement sociologique à travers les romans des éditions Harlequin.
Je m'étais déjà accompli de mon devoir il y a quelques temps avec une version très décevante. Puis mon imagination débridée étant passée par là, j'ai gagné un petit jeu chez Caro[line] et j'ai reçu mon tout premier Harlequin rien qu'à moi. Attention, il est bien précisé dessus qu'on y trouvera un héros "play-boy et milliardaire".

Ce titre correspond tout à fait à mes attentes d'un Harlequin : on y trouve deux séances de galipettes (dont une dans le foin) et de nombreux baisers qui "éveillent les sens" et "attisent le désir". Rien de mieux que la colère et la rancoeur pour commencer une merveilleuse histoire d'amour donc.

A noter que les auteurs d'Harlequin sont toujours aussi mauvais pour nommer leurs personnages. Angelos pourrait être le play-boy dont nous rêvons toutes... mais pourquoi l'affubler d'un nom de famille qui laisse imaginer les poils et le début d'un ventre bien gras... Angelos Rousakis, ça vous gâche tout le plaisir non ?
Pour l'héroïne, pas grand chose à dire, on reste dans le banal, Jessica, et encore une fois un nom en A. Encore une fois une héroïne magnifiquement belle, et intelligente et riche et... bref génial. Mais à quand un Harlequin avec des filles normales qui pourraient rencontrer un Play-boy milliardaire ? Car autant le prénom Isobel est peu portée (héroïne rencontre chez Caro[line]), autant Jessica pourrait être tout à fait quelconque.

Finalement je ne suis que peu inspiré pour vous parler de ce livre. Pourtant je me suis bien amusée à le lire. L'auteur maîtrise l'art du suspens et de la tension, repoussant sans cesse les galipettes, nous laissant espérer et ding-dong, quelqu'un arrive. Heureusement tout est bien qui finit bien et leur dernier baiser est éclairé par la pleine lune, "comme pour saluer leur union".

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12 septembre 2009 6 12 /09 /septembre /2009 07:00

Titre : Le cadavre du métropolitain
Auteur : Lee Jackson
Editeur : 10/18

En 1864 une jeune femme est retrouvée assassinée dans le métro londonnien. L'inspecteur Webb mène l'enquête, Agnes White décide de fuir le foyer où elle vivait, Lizzie White réapparaît dans la vie de sa famille, Phibbs récolte des infos sur les bas-fonds de Londre pour un article. Et l'enquête avance tout doucement.

Ce roman est très surprenant. L'auteur prend le temps de décrire quasiment tous les personnages lorsqu'on les rencontre pour la première fois. Et même si le plus souvent on les recroise, ce n'est pas toujours le cas. Certains ne servent qu'à introduire un autre personnage.
Autre particularité, ce policier n'est pas une enquête policière. Il y a bien eu meurtre, il y a bien un policier qui tente de comprendre qui est le coupable, mais ce n'est pas lui le personnage principal. On suit donc des personnages, leur vie quotidienne en se demandant ce qui les relie.
On avance petit à petit et on peut chercher par soi-même à comprendre qui est le coupable.

J'ai également beaucoup aimé l'écriture. L'auteur nous conduit d'un personnage à l'autre, d'un bout de Londres à l'autre sans nous perdre. J'ai eu besoin d'un peu d'adaptation au début pour retenir la galerie des personnages, mais une fois toutes les infos en place c'est un vrai plaisir.


Ce livre m'a été offert par Loula lors du swap Victorien. Il était dans ma PAL et me permet donc d'avancer petit à petit vers le succès de mon objectif PAL. Et il fait également parti de mon défi "lire autour du monde" que je termine avec ce livre !


A lire : l'avis mitigé de Lillounette, yottidottirest plus enthousiaste, de même que Marie.

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1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 07:00

Titre : Le jeu de l'ange
Auteur : Carlos Ruiz Zafon
Editeur : Robert Laffon

David Martin est assistant dans un journal de Barcelone dans les années. La bienveillance d'un protecteur richissime et un concours de circonstances lui permettent de publier son premier roman policier. A partir de là, la machine se met en route, il quitte le journal et publie de plus en plus.
Dans l'ombre un homme surveille son succès puis lui fait une proposition. Beaucoup d'argent et peut-être même plus en échange d'un roman sur un thème précis. David Martin accepte, mais découvre rapidement qu'il a peut-être fait un pacte avec le diable.


Ce livre est une vraie déception et j'ai eu beaucoup de mal à arriver à la dernière page. Je n'ai pas lu "L'ombre du vent" mais ayant croisé plusieurs avis très positifs je m'étais plongée dans ce roman confiante.

La première partie est longue, trop longue. L'auteur prend son temps pour nous raconter toute la vie de David Martin. Dans la deuxième partie se déroule, enfin, le pacte. On attend de l'action, mais non, toujours pas. Enfin la troisième partie devient vivante. Les chapitres raccourcissent et l'ensemble est plus rythmé. Et puis la chute, la fin, qui est bof. J'ai eu la sensation qu'à partir de la deuxième partie il s'écoulait environ 10 ans, et en fait pas du tout, à peine un an.

Et pourtant !
Pourtant l'histoire d'amour entre David et Cristina auraient pu être mieux mise en avant. Le cimetière des livres oubliés auraient pu prendre plus de place tellement ce lieu fait rêver. L'univers gothique aurait pu être saisissant si l'aspect roman policier ne venait pas tout gâcher.

L'amitié entre David et Isabelle amène beaucoup d'humour. Je n'ai pas hésité à lire plusieurs de leur échange verbaux à mon namoureux, tellement ils étaient juste et bien tournés. Idem lorsque David complote avec Sempere Junior.
Allez un exemple :
" - La fille te plaît ?
- Si elle me plaît ? Je ne sais pas. Comment sait-on que... ?
- C'est très simple. Est-ce que tu la regardes en cachette, et te vient-il des envies de la mordre ?
- La mordre ?
- Lui mordre les fesses, par exemple.
- Martin !
- Ne fais pas l'effarouché, nous sommes entre hommes, et c'est bien connu que les hommes sont le maillon manquant entre le pirate et le cochon. Elle te plaît, oui ou non ?"


Mais c'est long, avec de longs passages sans rythme. Le pacte est trop simpliste et même si le personnage ne comprend rien, le lecteur a tout compris dès le début (merci la 4e de couverture). Le complot autour de Martin est trop compliqué et tortueux et en perd de son réalisme. La confusion entre les personnages règnent. Et j'ai eu beaucoup, beaucoup de mal à le finir.

Ce livre m'a été offert par Blog-o-book et vous y trouverez donc le lien vers tous les autres avis. Pour le moment seul Wictoria a publié son avis, qui est contrairement à moi, positif.

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30 août 2009 7 30 /08 /août /2009 07:00

Titre : Chroniques de San Francisco
Auteur : Armistead Maupin
Editeur : Passage du Marais

Mary Ann transforme ses vacances à San Francisco en séjour définitif. Elle se trouve une logeuse mystérieuse mais généreuse et des voisins surprenants et amicaux.
Tout le monde cherche l'amour, des idéaux à défendre et un boulot qui lui plaisent.


Enfin, je fais partie de ceux qui ont lu ces chroniques. Par contre je ne rejoins pas les fans. J'ai beaucoup aimé, mais pas de là à devenir fan.

Ces chroniques sont incroyables car elles nous plongent dans les années 70 aux Etats-Unis. Le portrait est vivant et les personnages attachants. Désillusion après la guerre du Vietnam, libération sexuelle, portraits de femmes indépendantes, acceptation de soi et de ses rêves... beaucoup de thèmes sont évoqués. Et pourtant ils ne sont pas brandis comme une raison de lire ce roman. Car c'est avant une histoire de vie quotidienne, de jeunes qui rêvent et avancent comme ils peuvent. Le reste fait partie du décor, de l'époque, de ce qu'on ne choisit pas et qui nous entoure en permanence.

J'ai aimé que pour une fois les hippies ne soint pas vieillissant et heureux, que les anciens soldats du Vietnam ne soient pas vieux ou blessés ou suicidaires. Bon j'avoue je n'ai pas le souvenir d'avoir jamais lu de romans se passant dans les années 70. Je connais des personnages des années 60, tel Forrest Gump, ou ceux d'aujourd'hui. Entre les deux j'ai comme un trou...

Et puis on s'attache aux personnages. Le format chronique, avec les chapitres courts donnent du rythme et permet de passer d'un personnage à l'autre sans se fatiguer de leur grand nombre. Cela permet également une forme de suspens. Une conversation s'interromp à la fin du chapitre pour mieux reprendre quelques pages plus loin. Le temps s'écoule sans que l'on s'en apperçoive, les personnages évoluent, doucement mais surement.

Par contre je me demande le besoin de mettre tant de drogue et de sexe dans ce livre. A-t-on vraiment besoin d'un joint pour créer une communauté heureuse ? (j'entends déjà plusieurs de mes amis me répondre oui, mais dans la seule coloc où j'ai habité il n'y en avait pas...)

Une lecture très agréable et idéale pour les transports en commun (avec les chapitres courts pas besoin de lire en marchant pour finir le paragraphe par exemple (oui je lis en marchant car je n'aime pas m'arrêter au milieu d'une phrase)).

A lire la présentation détaillée de la série faite par Chrestomanci (la première chez qui j'en ai vraiment entendu parler et qui m'a donné l'envie de tester), également l'avis de Noryane (qui s'est lancée dans la série juste avant moi).

Ce livre fait parti de mon Lire autour du Monde pour le livre dont l'histoire se passe dans une ville d'une
autre continent que le notre !

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Bonjour, je suis Tiphanya, j'ai créé ce blog et pendant trèèèès longtemps, j'étais la seule à y partager mes chroniques littéraires.

Depuis peu, j'ai décidé d'associer ma fille Nine (né en novembre 2011) car elle voit beaucoup de choses qui m'échappent complètement. J'ai choisi de vous transmettre ses mots, ses remarques, ne touchant qu'à la grammaire pour rester le plus proche de ses idées.

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