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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 08:00

 

http://img5.hostingpics.net/pics/3063219527582_m.jpgVoulant un peu plus de littérature classique dans le cadre du challenge Halloween, j'ai choisi de piocher dans une sélection de titres gothiques anglophones. Ne lisant actuellement que sous format numérique, c'est cette contrainte qui m'a fait choisi Carmilla, puis Le Moine dont je souhaite vous parler aujourd'hui.

 

L'un des inconvénients majeurs du numérique et que l'on ne peut rien prévoir du récit à venir. J'ai ouvert le Moine, en ne connaissant ni le nombre de pages, ni la base de l'intrigue. C'est après quelques jours que j'ai commencé à me poser des questions, n'ayant atteint que 20% du livre et sans aucun fantôme ou autre intervention fantastique en vue.

 

Lewis est un dramaturge britannique de la fin du 18e siècle. Son récit prend place à Madrid, où un nouveau prieur, Ambrosio, plein de vertu, a un succès fou à chacune de ses messes. Mais sa vertu va être mise à mal par Rosario, un jeune novice vif et intelligent et par la beauté de la belle Antonia.

En découvrant l'histoire par mon intermédiaire, mon namoureux a choisi le terme « télé novella ». C'est un peu ça effectivement, il y a de l'amour, des couvents, des parents superstitieux, une femme invoquant le diable, un viol, des meurtres...

 

Présenté ainsi, ce récit semble avoir un sacré rythme. Mais en réalité, tout avance tranquillement, l'auteur prend soin de nous détailler les origines et les pensées de chacun. Alors le diable n'apparaît qu'à la toute fin, le titre ne prend son sens également qu'après un certain temps (on ne s'attache pas vraiment au moine au début du récit).

J'aurai aimé avoir le livre en main, pour le soupeser, évaluer le nombre de pages restantes et faire des pronostics. A la place j'ai découvert une autre approche de la lecture, plus passive, mais aussi plus attachée au texte ce qui n'est pas un mal non plus.

 

Un bon roman gothique (je l'ai préféré au Château d'Otrante par exemple), censuré à sa première publication, mais qui aujourd'hui mérite largement sa place entre les mains des amateurs du genre.

 

Le Moine - Matthew G. Lewis - disponible en version électronique gratuite

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:00

En tant que blogueuse et cuisinière amatrice (vive les desserts), je ne pouvais pas faire l'impasse sur le film Julie&Julia. Mais ce film est plus que l'histoire d'une blogueuse devenue célèbre. C'est le récit de deux femmes qui vont s'épanouir et s'accomplir grâce à leur amour pour la cuisine.

Julia Child a 40 ans et s'installe à Paris à la fin des années cinquante suite à la mutation de son mari. Femme de la haute société, elle s'ennuit et s'inscrit à des cours de chapellerie, de bridge, avant d'opter pour la cuisine.

Julie Powell va fêter ses 30 ans. Elle a abandonné son rêve de devenir auteur suite aux refus des éditeurs. Elle passe de son boulot (où elle répond à toutes les questions des américains sur l'après 11 septembre) à son appartement sans entrain et cuisine pour évacuer son stress.

La vie de la première va devenir passionnante lorsqu'elle se lance avec deux amies dans l'écriture d'un livre de cuisine. La vie de la seconde va changer lorsqu'elle va ouvrir son blog et tenter de cuisiner toutes les recettes du livre de Julia Child en une année.

Deux vies qui se croisent donc, de façon très judicieuses. Les deux femmes sont terriblements attachantes, l'une pour son humour, l'autre pour son côté "chieuse". Elles cuisinent avec plus ou moins de succès, prennent des risques, les assument et avancent. Elles sont toutes les deux terriblement modernes et actuelles. Ce sont des femmes qui semblaient perdues et qui brusquement trouvent un but à leur vie.

Au coeur de l'histoire se cache aussi quelques pépites d'humour (ah le homard), souvent mises en avant par une Meryl Streep incroyable. Mais Amy Adams (déjà vu dans Sunshine Cleaning) est également une actrice qui nous propose une Julie Powell complexe, attachante, drôle, chieuse, amoureuse, etc.

 On sort de ce film avec une terrible envie de manger et de se mettre pourquoi pas à la cuisine française.  

 

L'ensemble est réalisé à partir de deux livres, chacun écrit par l'une des protagonistes. J'aimerai beaucoup lire celui de Julie Powell, mais je me demande ce qu'il vaut. Quelqu'un l'a lu ?

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20 novembre 2013 3 20 /11 /novembre /2013 08:00

 

http://i279.photobucket.com/albums/kk147/hellolaure/Zita_zpsde8b70a5.jpgEt si le space opéra devenait accessible aux enfants ?

 

C'est ce que propose Ben Hatke dans le premier tome de sa BD jeunesse ZITA, la fille de l'espace. Une explosion, un engin extraterrestre, et Joseph qui jouait tranquillement, disparaît. Zita décide alors de le rejoindre et atterrit sur une une planète qu'un astéroïde géant menace de détruire. Mais peu importe, car Joseph disparaît sous les yeux, kidnappé par un casque portant des tentacules.

 

Selon mon namoureux, véritable fan de Space opéra (et pas vraiment adepte des bandes dessinés jeunesses), c'est une vraie réussite. Il aime tout.

Moi j'ai apprécié la simplicité des dessins, le robot numéro 1, et cette petite fille, si peu féminine et si courageuse. J'aime qu'un univers que l'on classifie pour les hommes, soit accessible aux enfants et aux filles.

 

Une très bonne BD pour se lancer dans la lecture, les planches n'étant pas pourvues de texte, les chapitres sont courts et l'histoire captivante et rythmée.

 

ZITA, la fille de l'espace – Ben Hatke – Rue de Sèvres

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18 novembre 2013 1 18 /11 /novembre /2013 08:00

 

http://www.khimairaworld.com/wp-content/uploads/cupidon.gifEt si brusquement vous aviez le pouvoir de rendre les gens amoureux ? Et si ce pouvoir fonctionnait sur tout le monde, sauf sur vous-même...

C'est ainsi que commence le roman, pendant la récréation. Le héros voit les couples se créent dès qu'il sert d'entremetteur.

 

Un roman très court pour les collégiens, léger, facile à lire et malheureusement facile à oublier. Il manque un je-ne-sais-quoi pour rendre l'ensemble plus original, plus surprenant, drôle, dramatique ou moins banal.

 

Une déception pour un auteur qui à chaque publication devient finalement de moins en moins intéressant. (d'ailleurs je n'avais pas écrit de critique aussi courte depuis mes débuts sur ce blog !)

 

Cupidon power – Luc Blanvillain – Ecole des Loisirs

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15 novembre 2013 5 15 /11 /novembre /2013 08:00

 

 

La fin de l'année arrive et avec elle les traditionnels dessins animés qui doivent permettre à toute la famille de passer un bon moment au chaud. Mais j'ai du à apprécier la production actuelle de dessins animés. Présentation de quelques titres très divers.



En général je trouve mon bonheur du côté des japonais, même si une grande partie de ceux qui arrivent en France ne sont pas vraiment pour les enfants (lisez le billet d'Ori sur Lettre à Momo).

Mais Arriettyest une réussiteautant au niveau du scénario qu'aux niveaux de la bande son et de la qualité des images, s'adressant à un public familial. J'ai adoré cette univers, même si le final est assez mélancolique.

On découvre dans une vieille maison un peu triste, une famille de chapardeurs, des êtres minuscules, vivant de bric et de broc.

J'ai craqué tout du long pour les nombreuses inventions des chapardeurs, pour le jeu sur les sons (ils ne sont pas perçus de la même façon quand l'histoire est vu de hauteur d'homme ou de chapardeur), pour la musique clairement celte, pour la nature et les animaux si bien représentés. La mère d'Arrietty, l'héroïne, m'a beaucoup plus et m'a rappelé Sophie dans Le château ambulant. J'ai détesté la vieille mégère, j'ai peiné avec le jeune garçon malade. Bref j'ai été totalement transporté dans cet univers.

 

http://images.allocine.fr/r_760_x/medias/nmedia/18/82/01/13/19598636.jpg

 

Une autre réussit à mon goût est le film Dragons.

Dans ce dessin animé nous rencontrons Harold et surtout Krokmou, un dragon que je trouve kro mignon. J'aimerai bien avoir le même. Il tient beaucoup du félin et il a une très belle couleur. Et puis l'amoureuse d'Harold ressemble à ma cousine.

Il est question de préjugés, de différences, de rêves, de place dans la société. Un film très positif, qui montre que tout le monde a un rôle à jouer, même s'il est parfois difficile de trouver lequel.

Et en dehors de ce côté très moral, les dragons sont simplement magnifiques !


http://images.allocine.fr/r_760_x/medias/nmedia/18/73/01/74/19343190.jpg


Plus mon affection pour les films japonais grandit et plus les films Disney m'énervent. Mais j'ai beaucoup aimé La princesse et la grenouille.

Le film est sympa, un vrai Disney avec une jolie princesse, un prince charmant qui est bien plus réussi que ceux des films de mon enfance, des musiques qui donnent envie de se dandiner et un happy end qui invite à travailler plus pour... heu pardon, je ne voulais pas le dire.

Pour une fois le mariageest presque mixe, une jolie afro-américaine tombe amoureuse d'un prince indien. On retrouve une jolie blonde, qui rêve d'être une princesse, qui pourrait être une cruche, mais son sens de l'amitié en fait un personnage sympathique et drôle. Enfin le méchant n'est pas une sorcière brune et méchante, mais un sorcier séducteur et vaguement manipulé par des esprits terrifiants. Les clichés sont mal-menés, Disney est en bonne voie. Enfin pas suffisamment pour éviter de dépeindre les Cajuns comme étant moches, arriérés et consanguins. On ne peut pas tout avoir.

Selon moi, le seul inconvénient de ce film est que l'on termine la séance ciné en étant totalement affamé. Incroyable tout ce que les personnages mangent ! Et à chaque fois le plat à l'air délicieux.


http://louisiane.blogs.sudouest.com/media/02/01/1996723892.jpg


Également des studios Disney, mon namoureux et moi avons eu un coup de cœur pour Rebelle. Mais notre avis est totalement biaisé par le simple fait que l'histoire se déroule en Ecosse, à une époque où les kilts sont encore à l'honneur...

 

 

Et à côté de ça, il y a les films qu'on regrette vraiment d'avoir vu. Ceux qui font se dire de ne jamais montrer un film non vérifier avant à ses enfants.

La légende de Despéraux est un excellent exemple. C'est un très bon film éducatif pour les enfants à partir de 6 ans. On y apprend beaucoup de choses, mais surtout que la soupe c'est indispensable pour être heureux ! Je vous fais un raccourci, mais l'idée de base c'est celle-ci, complétée par un autre précepte : il faut être courageux, mais pas trop, et avec un ami c'est mieux.

Revenons tout de même sur les autres notions abordées par le film :

- On a le droit de tricher si on veut faire croire que l'on est un champion de cuisine, mais en même temps s'aider d'un livre de recettes ce n'est pas vraiment de la triche.

- On a le droit de désobéir à ses parents si c'est pour faire quelque chose qui nous fait vraiment envie (comme visiter le monde des rats). Par contre attention, même si on revient à la maison, papa et maman ne voudront plus de nous (sauf si une princesse intervient).

- Si on ne fait pas régulièrement de la soupe, les bonnes odeurs ne vont pas chatouiller les nuages et donc il n'y a pas de pluie. Mais comme les nuages sont gourmands, ils restent au-dessus de la maison jusqu'à ce qu'ils aient une nouvelle dose de soupe. Donc cuisiner de la soupe ne fait pas seulement grandir : ça apporte aussi le soleil et la pluie.

- Lire c'est mal, on peut être banni du monde civilisé pour ça. Même la princesse ne lit pas !

- Toutes les petites filles sont des princesses (mais uniquement les princesses de leur papa, la couronne ne va pas à tout le monde).

- Manger dans l'assiette des autres peut conduire à la déchéance totale.

- Même les gentils peuvent être méchants et tenter de tuer les autres gentils. Il faut se méfier de tout le monde, même de son meilleur ami !

- Si on est tout petit mais qu'on ne s'en rend pas compte alors en fait on est grand comme un géant.


Mais surtout, surtout : rien de telle qu'une bonne soupe pour rendre tout un peuple heureux !


Pour bien faire passer le message, des gentilles petites souris, des gros méchants rats, une jolie princesse au Petit Pois, une bande son comme pour un film de grands et un happy end. Finalement ce film n'a que deux défauts : une mise en route longue et une histoire hum... faible... pas crédible... qui nous prend pour des andouilles...


Ah, j'oubliais, moi j'aime vraiment pas la soupe !

 

http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/rsz/434/x/x/x/medias/nmedia/18/67/01/19/19020172.jpg

 

Est-ce que vous regardez encore des dessins animés pour votre plaisir ou avant tout pour celui de vos enfants ?

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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 08:00

 

Il y a un peu plus de deux semaines, je vous présentais la place des livres dans notre vie nomade. Depuis ma fille a eu 2 ans, l'occasion de renouveller notre stock.

 

Évoluant avec nos sac à dos, le principe est normalement simple : pour chaque chose achetée, une autre doit quitter nos affaires. Avec les livres de ma fille c'est difficile. Nous luis avons appris à en avoir des dizaines, à choisir tranquillement des livres différents pour la sieste et le soir (et éventuellement pour jouer ou pour se réveiller).

Mais un des livres que nous trimbalons était un mauvais choix : La journée des bébés animaux est un très bon livre. Mais quand on va au zoo une fois par mois et plus régulièrement saluer les poules, les chèvres, les chats et les oiseaux de passage, le livre devient vite fade. Étant assez lourd, nous l'avons laissé à Athènes, chez une famille francophone qui nous avait hébergé (pour le plus grand bonheur d'une demoiselle de 7 ans).

 

http://www.ecoledesloisirs.com/php-edl/images/couvertures/E120530.gifAlors alors, ses cadeaux d'anniversaire ? Je les ai acheté à Athènes, dans une librairie francophone au service impeccable, Le livre Ouvert. Libraire sympathique, belle sélection pour les adultes, choix plus succincts en jeunesse, mais avec des beaux titres.

Limité par le poids et le besoin pressant de renouveller notre stock j'ai pioché dans les Lutins poches de l'école des loisirs et un « docs à coller » de chez Milan. Nous aurions préféré le vrai documentaire, mais trop lourd, nous avons fini par opter par la légèreté des autocollants.

 

Celui qui arrive en première position de nos lectures, élu favori à l'unanimité, je vous présente Jour de lessive. Une petite fille se rend au bord de la rivière et y découvre un rendez-vous hebdomadaire. Le raton-laveur, le castor, la souris et la grenouille se retrouve pour faire leur lessive. C'est simple, frais et enfantin.

 

http://static.decitre.fr/media/catalog/product/cache/1/image/9df78eab33525d08d6e5fb8d27136e95/9/7/8/2/2/1/1/2/9782211211475FS.gifLe deuxième choix, va avec l'obsession pour les animaux de ma fille : Faites la queue ! 50 animaux, classés du plus petit au plus grand attendent leur tour. Mais leur tour pour faire quoi ? Nous lisons les répliques de chacun, ou cherchons à nommer les différents animaux. Un livre que je n'aime pas trop lire le soir, mais suffisamment varié pour nous occuper un bout de temps je pense.

 

Enfin le dernier est en fait une sorte de retour à un livre très apprécié. Le documentaire Les maisons du monde avait eu un succès fou auprès de ma fille juste avant le départ. Là, c'est la version autocollants, donc on garde le même esprit, mais tout change. Clairement trop petite pour poser toute seule les autocollants, elle a accepté de le faire avec nous, quelques uns à chaque lecture pour faire durer le plaisir. Au final, nous avons maintenant un documentaire qui l'intéresse beaucoup avec des choses à nommer, pointer du doigt, comprendre.

 

http://static.decitre.fr/media/catalog/product/cache/1/image/9df78eab33525d08d6e5fb8d27136e95/9/7/8/2/7/4/5/9/9782745955494FS.gifUn renouveau salutaire à notre bibliothèque ambulante !

J'ai également profité de notre passage pour prendre un livre de Noël. Et je tiens à vous rassurer, ma fille n'a pas eu que des livres, elle a également reçu une petite figurine de la princesse Merida (l'Ecossaise de chez Disney) qui ne la quitte plus.

 

Par contre dès que Noël sera passé, et avant de reprendre la route, je sais déjà que je devrais préparer un petit colis en direction de chez ma mère pour alléger de nouveau nos sacs.

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11 novembre 2013 1 11 /11 /novembre /2013 08:00

 

http://www.images-chapitre.com/ima2/original/569/106569_2701898.jpgEn septembre-octobre, j'ai passé 32 jours à Zagreb, en famille, première étape d'une vie nomade pour quelques mois.

Pour un changement en douceur pour ma fille (22 mois), nous avons pris une carte à la médiathèque francophone. Une carte à mon nom pour emprunter aussi bien des albums que des romans pour adulte. Avec un passage par semaine, nous avons pu ainsi varier les lectures du soirs.

 

De mon côté, si à mon premier passage j'ai facilement trouvé de quoi lire, au bout d'une semaine, le rayon ado composé de quatre étagères longue de 40cm, m'a semble vraiment petit. J'ai donc ce jour là choisi le premier livre de le première étagère. En repartant j'avais une drôle de question en tête : si je venais vivre ici, combien de temps me faudrait-il pour tout lire ? La semaine suivante, le deuxième livre de la première étagère ne me motivait pas du tout. J'aime bien Audren, mais j'ai été déçue par les derniers titres que j'ai lu. J'ai alors repéré un drôle de livre, vaguement mis en avant et qui semble avoir été emprunté plus d'une fois Goumi-goumi. Un roman traduit en français aux éditions du rouergue d'un auteur croate originaire de Zagreb.

 

Goumi-goumi, c'est le genre de livre qu'on ne lit pas par hasard. Pour faire simple, le mot-clé est « leucémie »...

Marina, l'héroïne du roman a 12 ans et après plusieurs mois à l'hôpital, rentre enfin chez elle. Rien ne semble avoir changé, sauf elle, qui est maintenant chauve. Elle ne veut voir personne, refuse de sortir, commence un journal intime, et lit le journal tous les jours. Journal dans lequel elle entreprend de nous expliquer les règles du goumi-goumi, que le traducteur n'a pas traduit, apportant une touche d'exotisme. Mais il s'agit tout simplement de jouer à l'élastique !

 

Un livre qui fait verser quelques larmes mais aussi rire, avec beaucoup de sensibilité, une fraternité dynamique, une petite fille attachante. Aucun misérabilisme, des parents à côté de la plaque, des enfants simples et francs. Une belle découverte !

 

Goumi-goumi – Zoran Pongrasic – doAdo, éditions du Rouergue

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Bonjour, je suis Tiphanya, j'ai créé ce blog et pendant trèèèès longtemps, j'étais la seule à y partager mes chroniques littéraires.

Depuis peu, j'ai décidé d'associer ma fille Nine (né en novembre 2011) car elle voit beaucoup de choses qui m'échappent complètement. J'ai choisi de vous transmettre ses mots, ses remarques, ne touchant qu'à la grammaire pour rester le plus proche de ses idées.

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