Je suis rentrée du Japon depuis une semaine et malgré les commentaires m'incitant à vous raconter, je n'ai rien fait. Honte à moi ! Enfin si je vous ai raconté mon incapacité à lire (les cliffhangers existaient déjà dans Anna Karénine, avec une fin de seconde partie me plantant comme une vieille chaussette et la troisième partie redémarrant en pleine campagne avec d'autres protagonistes, car non je n'ai toujours pas fini) et je vous ai promis des photos.
Je n'ai pas fait beaucoup de musées, d'ailleurs je peux les compter : le musée d'Edo Tokyo (histoire de la ville très ludique) et le musée Ghibli (!!!!!). Connaissant l'amour de certains d'entre vous pour les dessins animés et me sentant d'humeur narquoise, je vous laisse avec la reconstitution d'une librairie de fictions légères (en anglais, langue des légendes « bookshop of light fiction ») et d'illustrations de l'époque d'Edo (date non précise mais dans les année 80, dans les années 1780).